Depuis le 21 mars dernier, les six jeunes participants de la Fabrique franco-arabe ont pris leurs quartiers au CITL:
Catherine Bonjour, française, vit à Montpellier. Elle traduit L’accès au divin par la connaissance de l’âme, de Abû Hamid al-Ghazâli,
Marie Charton, française, vit au Thillot. Elle traduit Ayza atgawwez de Ghada Abdel Aal,
Dina Elmorsy, égyptienne, vit au Caire. Elle traduit La Troisième femme, de Gilles Lipovetsky,
Ramia Ismail, syrienne, vit à Lyon. Elle traduit La Maladie de la mort de Marguerite Duras,
Lotfi Nia, algérien, vit à Alger. Il traduit Fussus at-tayh de Abd al-Wahab Benmansour,
Hebatallah Zhoni, égyptienne, vit au Caire. Elle traduit Le Petit Nicolas de Sempé-Goscinny.
Nos jeunes traducteurs travaillent actuellement sous la houlette de:
Jamal Chehayed, syrien, vit à Damas. Il a enseigné la littérature et la traduction à l’IFPO. Critique littéraire et traducteur, il a traduit entre autres: Lamartine, Jean-Pierre Vernant, Mikail Bakhtine, Marcel Proust…
Emmanuel Varlet, français, vit à Lyon. Il a animé des ateliers de traduction à l’université de Lyon 2. Il a traduit entre autres: Salim Barakat, Jabbour Douhaihy, Fouad al-Takarli…
A la suite de cette première étape, la Fabrique innove! Après sept semaines au CITL elle prendra ses quartiers à Dar Al Ma’mûn (Marrakech) pendant trois semaines avant de se clore à Paris par une lecture publique au Ministère de la Culture, rue de Valois, le 28 mai.
Omar Berrada, responsable du pôle littérature et traduction à Dar Al Ma’mûn, est donc venu à Arles rencontrer nos participants de la Fabrique afin de préparer leur séjour marocain.